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Céréales Le blé en hausse, soutenu par Chicago

Les cours du blé progressaient lundi en fin de journée, soutenus par la fermeté des cours du blé américains qui venait compenser la pression des moissons en Europe et l’importante quantité de marchandise disponible générée.

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Globalement, le marché de la Bourse de Chicago a progressé, en raison d’une inquiétude persistante sur l’état des cultures de maïs et de soja aux États-Unis.

 

« Après les pluies du printemps, c’est un temps sec et chaud qui laisse craindre maintenant des conditions peu favorables à la période de floraison des maïs », soulignait le cabinet Agritel dans une note publiée lundi.

 

En France, l’organisme public FranceAgriMer a dégradé dans son dernier point les conditions du blé d’hiver jugées bonnes à excellentes, à 73 % contre 75 % la semaine précédente.

 

« En orges d’hiver, 80 % des surfaces étaient estimées récoltées au 8 juillet et cette semaine, elles devraient s’afficher proches de la fin, avec des rendements globalement très satisfaisants », soulignait Agritel.

 

Concernant le maïs, les conditions demeurent très bonnes, mais les céréaliers commencent à s’inquiéter pour leurs rendements, compte tenu des restrictions d’irrigation qui touchent désormais une bonne moitié de la France, alors que le temps sec perdure.

 

À  l’approche de la clôture sur Euronext, la tonne de blé meunier perdait 1,75 euro sur l’échéance de septembre, à 176,50 euros, et 1,25 euro sur celle de décembre, à 181,75 euros.

 

La tonne de maïs, quant à elle, perdait 25 centimes sur l’échéance d’août, à 177,75 euros, et était stable sur celle de novembre, à 175,50 euros.

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